RÉFECTION CARROSSERIE SANS PEINTURE D’UNE PORSCHE 964 SPEEDSTER
Texte Pascal Dro | Photos Philippe Boutié
Alors que plus un professionnel n’imaginait pouvoir sauver sa peinture, une conversation anodine avec les spécialistes de Sonax, Flex et Passion Detailing a débouché sur une incroyable résurrection. Sorti d’un nuage épais, le Pace Car de la Ferdinand Cup est sauvé.
Vous l’avez sans doute vu en piste, ce Pace Car de la Ferdinand Cup. Cette très belle 964 Speedster de 1994 avait pourtant eu une vie, certes courte, mais agitée. En dépit de ses 20 000 km, la peinture, qui avait été refaite en 1996, avait un peu souffert. Il y avait deux raisons à cela.
D’une part, dès ses premières années passées sous le soleil de Los Angeles, elle avait été peu soignée par ses deux premiers propriétaires. C’est même un peu endommagée qu’elle avait débarqué en France. Là, entièrement mise à nu, elle avait été restaurée à neuf, avec soin, par l’ami Éric Séchaud après être passée en peinture. Mais, pas de chance, le peintre en question était surtout… carrossier ! Et il n’avait pas été très soigneux. Si bien qu’au soleil, on voyait apparaître par endroits, sous le vernis, des reliefs inquiétants qui résultaient certainement des traces de préparation.
Dans un premier temps, cela n’a pas causé de souci. Mais, à la longue, les petites griffures et éraflures consécutives à une vie et à un usage normal, sont devenues plus apparentes. Si bien qu’au fil des kilomètres, le Speedster – qui avait remporté le premier prix du 6e Paris Porsche Festival – est apparu moins beau. Par conséquent, deux ans plus tard, nous avons – presque – décidé de le faire repeindre à nouveau. Mais, franchement, la rancœur à l’encontre du peintre précédent montait…
Dans l’intervalle, nous en avons parlé à plusieurs carrossiers qui, tous, ont préconisé la même solution : repeindre. Jusqu’au jour où Jean-François Dorival, le patron de Sonax, nous a donné un avis différent : « Tu sais, nous avons créé une académie permettant aux jeunes souhaitant se lancer dans cette activité d’apprendre auprès du meilleur spécialiste et avec les meilleurs produits. Alors, nous avons fait appel à Sylvain Richard, qui travaille avec son épouse Claire. Tu devrais lui montrer la voiture. En général, plus le cas est désespéré, plus il est heureux et plus il peut laisser libre cours à son incroyable savoir-faire ».
Vous l’avez sans doute vu en piste, ce Pace Car de la Ferdinand Cup. Cette très belle 964 Speedster de 1994 avait pourtant eu une vie, certes courte, mais agitée. En dépit de ses 20 000 km, la peinture, qui avait été refaite en 1996, avait un peu souffert. Il y avait deux raisons à cela.
D’une part, dès ses premières années passées sous le soleil de Los Angeles, elle avait été peu soignée par ses deux premiers propriétaires. C’est même un peu endommagée qu’elle avait débarqué en France. Là, entièrement mise à nu, elle avait été restaurée à neuf, avec soin, par l’ami Éric Séchaud après être passée en peinture. Mais, pas de chance, le peintre en question était surtout… carrossier ! Et il n’avait pas été très soigneux. Si bien qu’au soleil, on voyait apparaître par endroits, sous le vernis, des reliefs inquiétants qui résultaient certainement des traces de préparation.
Dans un premier temps, cela n’a pas causé de souci. Mais, à la longue, les petites griffures et éraflures consécutives à une vie et à un usage normal, sont devenues plus apparentes. Si bien qu’au fil des kilomètres, le Speedster – qui avait remporté le premier prix du 6e Paris Porsche Festival – est apparu moins beau. Par conséquent, deux ans plus tard, nous avons – presque – décidé de le faire repeindre à nouveau. Mais, franchement, la rancœur à l’encontre du peintre précédent montait…
Dans l’intervalle, nous en avons parlé à plusieurs carrossiers qui, tous, ont préconisé la même solution : repeindre. Jusqu’au jour où Jean-François Dorival, le patron de Sonax, nous a donné un avis différent : « Tu sais, nous avons créé une académie permettant aux jeunes souhaitant se lancer dans cette activité d’apprendre auprès du meilleur spécialiste et avec les meilleurs produits. Alors, nous avons fait appel à Sylvain Richard, qui travaille avec son épouse Claire. Tu devrais lui montrer la voiture. En général, plus le cas est désespéré, plus il est heureux et plus il peut laisser libre cours à son incroyable savoir-faire ».
L’EQUIPE DE PASSION DETAILING : SYLVAIN ET CLAIRE, TOUS DEUX DANS DES RÔLES BIEN DÉFINIS EN FONCTION DE LEURS SPÉCIALITÉS ET D’UNE SOIGNEUSE RÉPARTITION DES TÂCHES. LE DUO PARFAIT, COMME DANS AMICALEMENT VÔTRE.
Effacer les défauts de peinture …
En appelant Passion Detailing, j’ai raconté l’histoire du Speedster, toujours obsédé par la volonté d’effacer de ces traces de préparation apparaissant sous la peinture et le vernis. Sur le coup, Sylvain ne s’est pas montré inquiet. Il m’a demandé de passer le voir pour lui montrer la voiture. Et, s’il n’y avait rien à faire, je rentrerai à son volant. Sur place, il s’est muni d’une lampe et n’a plus dit un mot pendant dix minutes, alors qu’il tournait autour de la Porsche, installant son éclairage sous différents angles. Et puis, il s’est mis à multiplier les « houla ! » lors de chaque découverte. Pour moi, c’était cuit : je me suis dit que la dernière chance venait de s’évanouir et que je devrai me résoudre à la faire repeindre. Puis il est devenu plus loquace, mais à peine, car il n’est pas très bavard, comme j’allais l’apprendre par la suite. Il s’est d’abord fendu d’un « intéressant », puis d’une autre « houlà ! » avant de se remettre à proférer des onomatopées. Sa conclusion ? « Il y en a partout ! J’ai déjà vu pire, c’est vrai, mais elle est dans le Top 5. Le noir est une couleur sublime, c’est vrai, mais elle ne supporte pas l’à-peu-près. Bon, nous allons essayer de rattraper tout cela. Mais je te préviens : si la peinture et le vernis sont de mauvaise qualité ou trop fins, il faudra t’attendre à devoir faire repeindre un élément ou un autre. »
De mon côté, c’était une véritable libération. D’une part, il était le premier à ne pas juger la cause perdue; d’autre part, il n’avait, a priori, rien à me vendre. Et je savais aussi que la peinture et le vernis étaient de très bonne qualité – même s’ils avaient été mal appliqués – puisqu’ils avaient été fournis par Glasurit, la Rolls-Royce des peintures pour véhicules d’exception.
J’ai regagné Paris en train, plein d’espoir et d’autant plus rassuré que, confinement aidant, Claire et Sylvain n’étaient plus vraiment débordés par les appels de clients. Ils allaient pouvoir lui consacrer le temps nécessaire. Claire ? La compagne et collaboratrice de Sylvain pour qui le Speedster, en noir, est « la plus belle Porsche qui soit ». Notre 964 était donc en de bonnes mains.
Effacer les défauts de peinture …
En appelant Passion Detailing, j’ai raconté l’histoire du Speedster, toujours obsédé par la volonté d’effacer de ces traces de préparation apparaissant sous la peinture et le vernis. Sur le coup, Sylvain ne s’est pas montré inquiet. Il m’a demandé de passer le voir pour lui montrer la voiture. Et, s’il n’y avait rien à faire, je rentrerai à son volant. Sur place, il s’est muni d’une lampe et n’a plus dit un mot pendant dix minutes, alors qu’il tournait autour de la Porsche, installant son éclairage sous différents angles. Et puis, il s’est mis à multiplier les « houla ! » lors de chaque découverte. Pour moi, c’était cuit : je me suis dit que la dernière chance venait de s’évanouir et que je devrai me résoudre à la faire repeindre. Puis il est devenu plus loquace, mais à peine, car il n’est pas très bavard, comme j’allais l’apprendre par la suite. Il s’est d’abord fendu d’un « intéressant », puis d’une autre « houlà ! » avant de se remettre à proférer des onomatopées. Sa conclusion ? « Il y en a partout ! J’ai déjà vu pire, c’est vrai, mais elle est dans le Top 5. Le noir est une couleur sublime, c’est vrai, mais elle ne supporte pas l’à-peu-près. Bon, nous allons essayer de rattraper tout cela. Mais je te préviens : si la peinture et le vernis sont de mauvaise qualité ou trop fins, il faudra t’attendre à devoir faire repeindre un élément ou un autre. »
De mon côté, c’était une véritable libération. D’une part, il était le premier à ne pas juger la cause perdue; d’autre part, il n’avait, a priori, rien à me vendre. Et je savais aussi que la peinture et le vernis étaient de très bonne qualité – même s’ils avaient été mal appliqués – puisqu’ils avaient été fournis par Glasurit, la Rolls-Royce des peintures pour véhicules d’exception.
J’ai regagné Paris en train, plein d’espoir et d’autant plus rassuré que, confinement aidant, Claire et Sylvain n’étaient plus vraiment débordés par les appels de clients. Ils allaient pouvoir lui consacrer le temps nécessaire. Claire ? La compagne et collaboratrice de Sylvain pour qui le Speedster, en noir, est « la plus belle Porsche qui soit ». Notre 964 était donc en de bonnes mains.
IL A AUSSI FALLU DÉMONTER LES ROUES, DÉCONTAMINER LES ÉTRIERS, L’INTÉRIEUR DES JANTES, LES PORTE-MOYEUX ET LES PASSAGES DE ROUES. CELA SE VOIT À PEINE ENSUITE, ALORS QUE TOUT, VRAIMENT TOUT, ÉTAIT À REPRENDRE.
LORS DE CES APPLICATIONS, LES RELIEFS SUR LE VERNIS APPARAISSENT CLAIREMENT. CE QUE L’ON DÉCOUVRAIT JUSTE À L’ŒIL NU APPARAÎT ALORS COMME UN VRAI CHAMP DE MINES ! ET POURTANT, SYLVAIN, SA PONCEUSE FLEX ET SES POLISHES SONAX EN VIENDRONT À BOUT.
BIEN QUE CE NE SOIT PAS RÉELLEMENT LA SPÉCIALITÉ DE PASSION DETAILING, ILS NOURRISSENT LES CUIRS ET VOUS RENDENT UN HABITACLE PARFAIT.
JAMAIS LA BULLE DE NOTRE PACE CAR N’AVAIT BRILLÉ DE LA SORTE. C’EST COMME UN MIRACLE.
Sylvain, qui a longtemps été carrossier et peintre, a débuté son activité de detailing de manière professionnelle en 2009, bien avant qu’elle ne soit connue en France. Claire l’a rejoint en 2015, se spécialisant plutôt dans les traitements céramiques classiques.
Dès le lendemain de mon retour, j’ai commencé à recevoir des photos des premières étapes du traitement « de choc » entrepris. Car ils n’allaient pas se contenter de traiter la carrosserie ; ils allaient retirer et récurer les roues, débarrasser les étriers de freins de leurs suies collées, restaurer les passages de roues, les intérieurs de jantes et les surfaces latérales des pneumatiques. Ils allaient également s’occuper de la toile de la capote recolorée, du cuir des sièges, des vinyles des panneaux de portes, etc. Mais si tout cela ressort mieux que neuf, souple et poli, c’est tout de même sur la carrosserie que leur expertise est la plus bluffante. Ainsi, après avoir submergé la voiture sous la mousse Sonax, ils l’ont nettoyée de fond en comble afin de travailler sur un support propre et lisse. Ensuite, à l’aide de lampes et de lumières très intenses, ils ont établi un diagnostic très précis des épaisseurs de vernis et des défauts existant aux différents endroits de la carrosserie. Chacun des deux ayant ses préférences, Claire s’est concentrée sur les zones à polir, tandis que Sylvain a attaqué le ponçage des zones critiques. Le diagnostic faisait état de peaux d’orange en surface, provoquées par un vernis mal tendu, mais aussi de défauts de traitement de fond, sur les apprêts et la peinture. « Un peu comme des fossiles apparaissant dans des pierres marines ». Ainsi, ils ont entamé un ponçage des zones cibles et une préparation des surfaces qui allaient les occuper pendant dix jours. Oui, vous avez bien lu : dix jours ! Le coût de cette intervention s’établissant autour de 4 000 à 5 000 €, on peut, dès lors, se demander s’il ne vaudrait pas mieux investir, dans une peinture neuve ? Sylvain est très clair (ah, ah !) sur le sujet : « La réponse est “on peut”. Mais, en sortant de la carrosserie, si vous avez une ancienne, vous devrez tout de même passer en préparation pour obtenir ce genre de résultat et ce brillant. Dès lors, la question qui se pose n’est pas celle de la peinture existante, mais celle de son traitement. Ce que nous faisons, Claire et moi, c’est corriger le travail du peintre en égalisant la surface du vernis partout où c’est possible. Dans le cas de cette Porsche, c’était effectivement possible grâce à la qualité et à l’épaisseur du vernis. Cela nous a permis d’aller très loin dans les détails et dans la recherche du brillant. Et le résultat est celui que tu vois là ». Sans flatterie ni exagération, nous n’avions jamais vu une chose pareille. Et le résultat est d’autant plus étonnant que le cas semblait désespéré. « Mais, tu sais, nous avions traité ainsi une Jaguar Type E dont le propriétaire avait fait refaire la peinture pour près de 30 000 €. Et elle était à peine plus présentable que celle de la Porsche avant son arrivée ».
Sylvain, qui a longtemps été carrossier et peintre, a débuté son activité de detailing de manière professionnelle en 2009, bien avant qu’elle ne soit connue en France. Claire l’a rejoint en 2015, se spécialisant plutôt dans les traitements céramiques classiques.
Dès le lendemain de mon retour, j’ai commencé à recevoir des photos des premières étapes du traitement « de choc » entrepris. Car ils n’allaient pas se contenter de traiter la carrosserie ; ils allaient retirer et récurer les roues, débarrasser les étriers de freins de leurs suies collées, restaurer les passages de roues, les intérieurs de jantes et les surfaces latérales des pneumatiques. Ils allaient également s’occuper de la toile de la capote recolorée, du cuir des sièges, des vinyles des panneaux de portes, etc. Mais si tout cela ressort mieux que neuf, souple et poli, c’est tout de même sur la carrosserie que leur expertise est la plus bluffante. Ainsi, après avoir submergé la voiture sous la mousse Sonax, ils l’ont nettoyée de fond en comble afin de travailler sur un support propre et lisse. Ensuite, à l’aide de lampes et de lumières très intenses, ils ont établi un diagnostic très précis des épaisseurs de vernis et des défauts existant aux différents endroits de la carrosserie. Chacun des deux ayant ses préférences, Claire s’est concentrée sur les zones à polir, tandis que Sylvain a attaqué le ponçage des zones critiques. Le diagnostic faisait état de peaux d’orange en surface, provoquées par un vernis mal tendu, mais aussi de défauts de traitement de fond, sur les apprêts et la peinture. « Un peu comme des fossiles apparaissant dans des pierres marines ». Ainsi, ils ont entamé un ponçage des zones cibles et une préparation des surfaces qui allaient les occuper pendant dix jours. Oui, vous avez bien lu : dix jours ! Le coût de cette intervention s’établissant autour de 4 000 à 5 000 €, on peut, dès lors, se demander s’il ne vaudrait pas mieux investir, dans une peinture neuve ? Sylvain est très clair (ah, ah !) sur le sujet : « La réponse est “on peut”. Mais, en sortant de la carrosserie, si vous avez une ancienne, vous devrez tout de même passer en préparation pour obtenir ce genre de résultat et ce brillant. Dès lors, la question qui se pose n’est pas celle de la peinture existante, mais celle de son traitement. Ce que nous faisons, Claire et moi, c’est corriger le travail du peintre en égalisant la surface du vernis partout où c’est possible. Dans le cas de cette Porsche, c’était effectivement possible grâce à la qualité et à l’épaisseur du vernis. Cela nous a permis d’aller très loin dans les détails et dans la recherche du brillant. Et le résultat est celui que tu vois là ». Sans flatterie ni exagération, nous n’avions jamais vu une chose pareille. Et le résultat est d’autant plus étonnant que le cas semblait désespéré. « Mais, tu sais, nous avions traité ainsi une Jaguar Type E dont le propriétaire avait fait refaire la peinture pour près de 30 000 €. Et elle était à peine plus présentable que celle de la Porsche avant son arrivée ».
QU’IL S’AGISSE D’ÉLÉMENTS MÉTALLIQUES COMME LES PORTES ET LES CAPOTS, EN FIBRE COMME LA BULLE OU EN PLASTIQUE COMME LES REVÊTEMENTS DES BOUCLIERS, TOUT EST REVENU À UN ÉTAT MEILLEUR QUE NEUF. INIMAGINABLE !
FROTTER ET PONCER, CELA DONNE DES GROS BRAS. NE PAS ÉNERVER LE GAILLARD, S’IL VOUS PLAÎT !
TRAITEMENT DE SURFACE FINAL RÉALISÉ PAR CLAIRE, L’EAU COULE SANS QU’UNE SEULE GOUTE NE S’ATTACHE SUR LA SURFACE OU LAISSE LA MOINDRE TRACE.
Rénovation des peintures neuves
C’est avec ce degré d’exigence, cette insatisfaction permanente et le souci de la réalisation d’un travail parfait que Claire et Sylvain Richard œuvrent. Quand on leur demande si ce genre de sacerdoce n’est pas usant à la longue, ils nous rassurent : « Des dossiers tels que celui-ci, nous n’en réalisons jamais plus d’une dizaine par an. C’est très long et pas très rentable. Et je crois bien que nous sommes les seuls à relever ce genre de défi. En tout cas, voir ton visage en découvrant la voiture terminée est, pour Claire comme pour moi, aussi gratifiant que le chiffre d’affaires que cela représente. C’est l’une des satisfactions qu’offre ce métier : nos clients aiment leurs autos. Ils sont même passionnés et nous partageons cela avec eux ».
Claire renchérit : « C’est sans doute pour cela que Sonax et Flex nous ont choisis pour créer l’académie de detailing que nous animons aujourd’hui. Nous exerçons cette activité depuis si longtemps que nos techniques et nos spécificités sont au point. Nous connaissons également très bien les ponceuses Flex et les produits Sonax, qui se situent au sommet de ce qui se fait aujourd’hui et nous n’en sortons pas. Comme nous te le disions, si nous travaillons tous les deux en famille, nous faisons également partie d’une tribu plus large de passionnés d’automobile, de technique et de travail bien fait ».♦
Rénovation des peintures neuves
C’est avec ce degré d’exigence, cette insatisfaction permanente et le souci de la réalisation d’un travail parfait que Claire et Sylvain Richard œuvrent. Quand on leur demande si ce genre de sacerdoce n’est pas usant à la longue, ils nous rassurent : « Des dossiers tels que celui-ci, nous n’en réalisons jamais plus d’une dizaine par an. C’est très long et pas très rentable. Et je crois bien que nous sommes les seuls à relever ce genre de défi. En tout cas, voir ton visage en découvrant la voiture terminée est, pour Claire comme pour moi, aussi gratifiant que le chiffre d’affaires que cela représente. C’est l’une des satisfactions qu’offre ce métier : nos clients aiment leurs autos. Ils sont même passionnés et nous partageons cela avec eux ».
Claire renchérit : « C’est sans doute pour cela que Sonax et Flex nous ont choisis pour créer l’académie de detailing que nous animons aujourd’hui. Nous exerçons cette activité depuis si longtemps que nos techniques et nos spécificités sont au point. Nous connaissons également très bien les ponceuses Flex et les produits Sonax, qui se situent au sommet de ce qui se fait aujourd’hui et nous n’en sortons pas. Comme nous te le disions, si nous travaillons tous les deux en famille, nous faisons également partie d’une tribu plus large de passionnés d’automobile, de technique et de travail bien fait ».♦
C’EST ASSEZ PHÉNOMÉNAL ET, SURTOUT, VOUS RÉALISEZ À QUEL POINT VOUS ÉTIEZ DANS L’ERREUR EN PENSANT ÊTRE SIMPLEMENT EN FACE D’UNE BELLE AUTO UN PEU SALE.
DÉSORMAIS, SON APPARENCE EST EN RAPPORT AVEC SON ÂGE ET SON KILOMÉTRAGE. LA NÉGLIGENCE DES PREMIÈRES ANNÉES EST OUBLIÉE.
PAS DE GRAS SUR LES PORTES, PAS D’EFFET LIMITÉ À UN MOIS OU DEUX ET UN TRAITEMENT CÉRAMIQUE D’ENTRETIEN LONGUE DURÉE.
NON, CE N’EST PAS UNE PHOTO INVERSÉE, MAIS LE REFLET DES PRODUITS DANS LA PORTE DU SPEEDSTER !
Contacts
Passion Detailing :
https://www.passion-detailing77.fr
1400, route de Montereau – Route Départementale 28 – Le Grand Fossard – 77940 Esmans
au sud de Paris
Tél. : 06 25 10 20 82 – Facebook : Passion Detailing
• Produits Sonax : opso-distribution.fr
• Ponceuses Flex : flex-electroportatif.fr
Le numéro 31 à commander d’urgence !