FERDINAND CUP, SAISON 3

UN RICARD, SINON RIEN

Par Juan-Pablo Enout et Peter Dro – Photos Morgan Mathurin

Pour tous les concurrents de la Ferdinand Cup – et pour nous tous à la rédaction de Ferdinand Magazine -, cette troisième saison marque un virage important. Serons-nous capables de perpétuer l’ambiance extraordinaire, l’esprit de course à l’ancienne, fait d’entraide, d’apéros et de bagarres marrantes en piste qui, depuis deux ans, plaisent tant au public, aux équipages… et aux concurrents des autres formules ?

C’était en tout cas notre souhait de préserver à tout prix cette bonne humeur de cour de récréation, tout en restant très sérieux et aussi professionnels que possible. Mais il nous fallait également tirer les enseignements de la saison 2018, reconduire les bons aspects et améliorer les moins bons. Et, pour arriver au Circuit Paul Ricard fins prêts, ce 12 avril, l’hiver ne s’est pas montré très clément…
En effet, le championnat V de V, avec lequel nous collaborions depuis longtemps, a connu des soucis et a finalement été annulé. Nous avons alors décidé de créer notre propre calendrier… même si ce n’est pas du tout notre métier. Plusieurs pistes ont été explorées et tous ceux à qui nous en avons fait la demande nous ont répondu positivement. Tout d’abord, le Grand Prix de Pau, par l’entremise de Joël Do Vale et d’Éric Dournès, a accepté notre présence en mai pour cette course en ville de légende. Il y a ensuite eu l’European Le Mans Series, qui a accepté de nous accueillir dans le cadre très prestigieux des 4 Heures du Paul Ricard, manche d’ouverture du Championnat d’Europe d’Endurance. Et, enfin, le TTE de Fabrice Reicher a joué le jeu de manière fantastique en nous acceptant dans les trois meetings de Dijon, Magny-Cours et Le Mans. Le programme et les circuits visités ne sont donc que de grands tracés, historiques et passionnants. (Découvrez la suite de l’article dans le numéro 27). 

Le numéro 27 à commander d’urgence !